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الخميس، 25 أبريل 2013

Lost planet 3 presentation and wallpapers


Particulièrement discret depuis son annonce il y un an, Lost Planet 3 ne semble pas faire partie des priorités de Capcom. A l'heure où communiquer massivement autour d'un titre reste le moyen le plus sûr pour éviter que les joueurs ne passent pas à côté de celui-ci, l'absence du jeu dans les médias a de quoi surprendre et inquiéter. Il était donc grand temps de déterrer la bête et de nous l'exposer, à quelques mois de son arrivée sur le marché. Ce fut chose faite il y a peu, avec une présentation relativement complète du solo et du multi de Lost Planet 3.

Commençons par rappeler que Lost Planet 3 se déroule avant les événements des deux premiers épisodes. L'histoire conte les aventures de Jim Peyton, un homme qui décide de partir sur la planète E.D.N. III afin de travailler dans le seul but - très noble - de mettre financièrement sa famille à l'abri du besoin. Son job consiste à extraire de la thermo-énergie pour le compte de la mystérieuse société NEVEC (ou Neo Venus Construction) que les amateurs de la série connaissent bien. Une tâche peu évidente en raison du climat glacial qui règne sur place et de la présence d'Akrids, des bestioles pour le moins agressives. Après un deuxième volet entièrement tourné vers la coopération entre joueurs, Lost Planet 3 revient à une formule classique où la narration occupe une place prépondérante au sein de l'expérience.
Le jeu cherche tout de suite à faire ressentir à quel point la planète sur laquelle débarque Jim est hostile. Les premiers pas dans l'aventure sont donc volontairement laborieux. Bras levé devant son visage, notre héros tente de se frayer un chemin dans la neige, tout en se protégeant de la violente tempête qui l'assaille. Une scène qui n'est pas sans rappeler le dernier Dead Space. Et ce n'est pas qu'une simple coïncidence. LP3 mise énormément sur son ambiance qui se veut angoissante. Jim n'est qu'un simple humain et les premières rencontres avec les Akrids vous font rapidement comprendre qu'il va falloir être vigilant et réactif pour survivre. Après quelques péripéties qu'on vous laisse le soin de découvrir, vous parvenez à rejoindre la base de la société NEVEC, le seul lieu vraiment sécurisé sur E.D.N. III. Un endroit qui revêt d'ailleurs une importance particulière au cours de l'aventure. C'est ici qu'ont lieu les échanges directs entre les différents protagonistes, des dialogues qui permettent aux personnages de prendre forme et, par extension, au scénario d'avancer. Mais ce lieu sûr est avant tout une sorte de hub au sein duquel vous êtes amené à évoluer librement entre chaque mission. Vous pouvez notamment vous y procurer des armes et des munitions en échange de la monnaie locale, la fameuse thermo-énergie. Mais c'est aussi à partir de cette base que vous avez accès à tous les lieux visités par le passé. Retourner sur vos pas vous permet de découvrir de nouvelles zones, bloquées au moment de la phase d'exploration initiale, ou encore de collecter de la thermo-énergie, grâce aux objets récupérés par Jim au cours de ses pérégrinations. On pense par exemple au grappin... voilà qui devrait parler à ceux qui aiment finir les jeux à cent pour cent.

Mais ce n'est pas tout puisque le studio de développement, Spark Unlimited, a évoqué et exposé la possibilité de transformer votre Rig – un énorme mecha puissant et résistant – en plate-forme de forage. Vous l'aurez compris, le but est d'extraire de la thermo-énergie, décidément au cœur de l'expérience. Une action qu'on peut effectuer librement, à partir du moment où la zone dispose de cette précieuse ressource. Il faut toutefois savoir que le Rig, version foreuse infernale, attire les Akrids. Concrètement, cela signifie que des vagues d'ennemis ne cessent de vous agresser tant que vous n'avez pas terminé votre petite affaire. Et bien évidemment, la menace devient de plus en plus grande avec le temps. Si les bestioles n'hésitent pas à vous attaquer frontalement, leur objectif commun reste toutefois de détruire le Rig. Une jauge de dégât vous indique donc en permanence l'état de l'engin. Du coup, il vous faut veiller autant à votre santé qu'à celle de votre petit mecha. Notez d'ailleurs qu'en plus d'améliorer l'équipement de Jim, la thermo-énergie récoltée peut aussi servir à booster les capacités de votre robot. Vous pouvez notamment acheter de nouvelles attaques très utiles puisque vous aurez, de temps à autre, à vous défendre contre d'énormes Akrids à bord du Rig
Bien entendu, rien ne vous empêche de poursuivre l'aventure de manière linéaire. Dans ce cas-là, l'expérience prend un accent plus classique. On se contente de suivre les objectifs fixés à la manière d'unTPS « normal », le jeu se montre alors plus directif. D'après ce que l'on a vu, les missions devraient se découper en deux phases. La première consiste à sortir de la base à bord du Rig (en vue subjective) et à se balader dans des zones ouvertes mais peu vastes et la seconde à quitter votre précieux mecha pour aller effectuer la sale besogne à pied, dans des grottes sombres et occupées. Le jeu vous fait d'ailleurs nettement ressentir la différence qui existe entre être en sécurité à l'intérieur du robot et se balader seul au sol. Bien entendu, les développeurs prennent un malin plaisir à régulièrement vous faire descendre du Rig. C'est notamment le cas lorsque vous devez explorer une grotte de fond en comble pour effectuer une tâche donnée. Le level design propose alors une suite de couloirs étroits, de quoi permettre aux développeurs de jouer sur des effets de réalisation afin d'accentuer l'angoisse du joueur et de proposer de nombreux scripts souvent assez grossiers. A ce moment-là, le jeu bascule donc en mode TPS pur. Les combats se font nombreux contre des Akrids plus ou moins résistants et puissants. Maîtriser les roulades sur le côté devient rapidement nécessaire pour faire face aux ennemis les plus forts. Pour le reste, shooter et balancer des grenades suffit amplement. Le jeu vous prend de toute manière par la main, on ne se sent pas perdu ou démuni face à l'adversité, du moins pendant l'extrait que nous avons pu jouer. Le mélange entre exploration à bord du Rig ou à pied et phases orientées action est agréable. Spark Unlimited maîtrise son sujet sans se montrer pour autant hyper inspiré. On se laisse porter sans déplaisir par l'aventure. A noter cependant que le jeu reste dans l'ensemble assez moyen d'un point de vue technique (notre version tournait sur Xbox 360).

Côté multi, le constat est nettement moins réjouissant. Et ce, même si le contenu s'annonce assez dense. Au programme, on trouve quatre modes de jeu différents dont deux seulement nous ont été dévoilés. Le premier est un mode Survie (Akrid Survival en VO) qui met aux prises deux équipes. Chacune d'entre elles doit tout d'abord agir dans son coin et éliminer les Akrids débarquant par vagues successives. Dans un second temps, l'objectif est d'occuper le plus longtemps possible une zone située au centre de la map. A ce moment-là, le jeu bascule en mode PvP, dans le sens où la bataille ne vous oppose plus aux Akrids mais aux joueurs adverses. Ce qu'il faut savoir, c'est que l'équipe qui élimine le plus rapidement les bestioles qui lui sont balancées au départ, débarque avec de l'avance dans la zone centrale et prend donc un avantage certain sur la victoire finale. Pour résumer, il s'agit donc d'une sorte de course débouchant sur de la capture de zone basique. Évidemment, en fonction des cartes, les ennemis ne seront pas les mêmes. Le second mode se nomme Scénario. Il voit s'opposer deux équipes sur des cartes qui possèdent leurs propres règles et objectifs. A titre d'exemple, des attaquants devaient aider un véhicule à traverser une carte alors que les défenseurs avaient pour consigne de les en empêcher. Après avoir enchaîné les parties, on sent que le multi est en complet décalage avec le reste du jeu. Le gameplay, clairement pensé pour la campagne solo, se prête mal à une expérience compétitive à plusieurs. Ainsi, la lenteur des déplacements des personnages, et même leur animation en général, casse complètement la dynamique des matchs. Et ce n'est qu'un exemple. Bref, les affrontements tournent vite au pugilat sans grand intérêt et on se demande bien qui va passer plus de deux heures en ligne en compagnie de Lost Planet 3.

Lost Planet 3

Aperçu Lost Planet 3 PlayStation 3 - Screenshot 75

Aperçu Lost Planet 3 PlayStation 3 - Screenshot 76

Aperçu Lost Planet 3 PlayStation 3 - Screenshot 77

Aperçu Lost Planet 3 PlayStation 3 - Screenshot 78

السبت، 20 أبريل 2013

Injustice wallpapers

Injustice : Les Dieux sont Parmi Nous

Test Injustice : Les Dieux sont Parmi Nous Xbox 360 - Screenshot 44


 Test Injustice : Les Dieux sont Parmi Nous Xbox 360 - Screenshot 45

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Test Injustice : Les Dieux sont Parmi Nous Xbox 360 - Screenshot 54

Test Injustice : Les Dieux sont Parmi Nous Xbox 360 - Screenshot 50

Injustice presentation



Il y a des jours où tout semble se liguer contre soi, où le quotidien se transforme en une vaste prison, où on a envie de crier « c'est vraiment trop injuste ! »... Bref, il est venu le temps de taper du poing sur la table avant de toucher le fond, et, dans ces cas-là, il peut s'avérer bien utile d'avoir des super-pouvoirs. Quand des super-héros remettent en cause l'ordre établi et se révoltent contre leurs pairs, il en résulte forcément des combats épiques capables de faire trembler le monde. C'est justement dans ces affrontements titanesques que nous entraîne Injustice.



Vous n'êtes pas sans savoir que Midway, le développeur historique de la série des Mortal Kombat, a fermé ses portes en 2009. Mais, tel un phénix renaissant de ses cendres, Ed Boon est revenu sur le devant de la scène aux manettes de NetherRealm Studios et s'est chargé de donner une nouvelle jeunesse à la licence avec l'excellent épisode sorti en 2011. Le développeur n'a pas fini de bousculer le petit monde du jeu de baston puisqu'il accouche désormais d'Injustice, un titre mettant en scène des personnages directement issus des comics DC. On se souvient que Batman et Superman avaient déjà fait une apparition dans un jeu de combat avec Mortal Kombat vs DC Universe mais les résultats de cette tentative étaient plutôt mitigés. Rassurez-vous, Injustice est clairement d'une autre trempe.


Même si vous n'êtes pas franchement familier des comics, vous connaissez forcément certaines productions de la maison DC. Un type qui vole habillé avec un collant bleu et une cape rouge, ça ne vous dit rien ? Un milliardaire plutôt musclé qui passe son temps libre dans une cave remplie de chauves-souris ? Vous l'aurez compris, les deux stars de DC tiennent forcément une place de choix dans ce jeu de combat, mais on y trouve aussi des sidekicks un peu moins célèbres. En effet, le roster compte tout de même 24 combattants, la moitié étant des super-héros, l'autre moitié des super-vilains. Si les têtes d'affiche sont Superman, Batman, le Joker, Doomsday, Flash ou Wonder Woman, d'autres tels que Raven, Cyborg ou Killer Frost se sont aussi invités à la fête. On sait déjà que quelques DLC viendront compléter le casting mais la démarche ne paraît pas particulièrement honteuse à partir du moment où le contenu de base est assez exhaustif pour amuser la galerie un bon moment et qu'il n'y a pas un sentiment de redite entre les différents combattants.

Tout ce beau monde est à l'honneur dans un mode Histoire qu'il ne faut pas prendre à la légère. Je vous vois venir, le scénario d'un jeu de baston ne peut pas valoir tripette à vos yeux ? Détrompez-vous, les derniers Mortal Kombat bénéficiaient déjà d'une narration soignée et on retrouve ici la même recette. Au programme, vous aurez droit à douze chapitres vous permettant d'incarner tour à tour différents protagonistes. L'histoire en elle-même n'est pas d'une originalité folle puisqu'il s'agit pour nos héros de choc de visiter une dimension alternative. C'est bien entendu l'occasion de retrouver des versions assez différentes des personnages que l'on connaît déjà, mais aussi plus globalement de poser la question de la légitimité des super-héros qui règnent d'une main de fer sur le monde parallèle en question. Une accumulation de clichés ? Peut-être, mais l'ensemble nous est servi avec un véritable sens de la mise en scène et parvient finalement à nous tenir en haleine. Les fans de DC seront heureux de retrouver une foule de clins d’œil faisant référence aux comics d'origine, mais les néophytes devraient aussi se laisser prendre au jeu en découvrant une histoire qui tient finalement assez bien la route.

Un gameplay accessible et efficace
Une chose est certaine, si jamais vous avez déjà touché au dernier épisode en date de Mortal Kombat, vous ne serez pas dépaysé en découvrant Injustice. On retrouve par exemple le même mélange d'une représentation en 3D et d'un gameplay essentiellement en 2D, quasiment la même jauge de super, des combos et des coups spéciaux qui ont un air de famille... La plus grosse différence tient finalement à la conception des arènes : les environnements gagnent ici en profondeur et surtout en interactivité. Vous avez ainsi désormais la possibilité d'envoyer votre adversaire rebondir dans l'arrière-plan pour ensuite enchaîner les coups à la façon d'un juggle combo. Vous pouvez aussi balancer le pauvre bougre en dehors de l'arène, s'ensuivra alors une petite cinématique particulièrement sadique qui vous entraînera jusqu'à une partie du décor. Ce n'est pas tout, les niveaux fourmillent de pièges ou d'objets que vous pouvez balancer à la figure de vos ennemis. Appuyer sur un bouton déclenchera des missiles, secouer une plante lui fera cracher du poison, une moto vous permet d'écraser votre adversaire... Cerise sur le gâteau, ces interactions seront différentes si vous incarnez un personnage balaise ou non : l'un va se contenter de lancer les objets tandis que l'autre s'en servira de manière un peu plus raffinée

Ne vous inquiétez pas, vous ne risquez pas de vous emmêler les pinceaux en essayant ces différentes possibilités : c'est toujours la même touche de tranche qui vous permet d’interagir avec le décor et l'indication clignote à l'écran lorsqu'une telle action est possible. Le souci de simplicité se retrouve à tous les niveaux, les coups spéciaux sortent facilement et il suffit d'appuyer sur la gâchette droite pour les booster en sacrifiant une partie de la jauge de super. Chaque personnage dispose d'un super-coup vraiment impressionnant qu'on déclenche en appuyant simultanément sur les deux gâchettes, exactement comme les attaques X-Ray du dernier Mortal Kombat. Une feature un peu étrange fait aussi son arrivée : une fois par combat, vous pouvez essayer de regagner un peu de vie en engageant un duel brutal. Le vainqueur de cette joute sera tout bêtement celui dont la jauge de super est la plus garnie. Histoire que chaque combattant se démarque réellement de ses petits collègues, ils disposent aussi chacun d'un atout bien particulier : Batman invoque une nuée de chauves-souris mécaniques, Green Arrow envoie ses flèches, Bane s'injecte du Venom pour booster momentanément ses dégâts... L'ensemble se montre particulièrement fidèle à l'univers original et nous promet une réelle diversité des combats, par contre ça se traduit aussi par un mauvais équilibrage qui cela fera certainement rager les amateurs de compétition.





Vous l'avez peut-être déjà compris, Injustice n'est clairement pas taillé pour le multijoueur compétitif. Des modes en ligne plutôt classiques sont bel et bien proposés mais le manque d'équilibre entre les combattants risque de vous gâcher le plaisir. Dans ces conditions, mieux vaut profiter du spectacle avec des amis qui ne prennent pas les choses trop au sérieux. L'ensemble devient par contre plus alléchant du point de vue d'un joueur axé sur le solo. Il profitera alors pleinement du mode Histoire (à condition de fermer les yeux sur certaines séquences ratées abusant des QTE), il découvrira avec plaisir que le mode Arcade dispose d'une palanquée de déclinaisons et il pourra même se faire la main sur un mode S.T.A.R. Labs qui regroupe la bagatelle de 240 défis. Bref, vous aurez de quoi vous occuper lors de vos longues soirées en solitaire.

الخميس، 18 أبريل 2013

Xbox360 how to download from xbox live


Gérer votre bibliothèque de jeux depuis Xbox LIVE
Présentation
Vous pouvez télécharger des jeux à partir du Marché Jeux Xbox LIVE et installer des jeux depuis un disque sur le disque dur de la console. Pour afficher les jeux que vous avez installés et téléchargés, accédez à Jeux, puis sélectionnez Mes jeux. Vous ne voyez pas s'afficher Mes jeux ? Mettez à jour le logiciel de la console Xbox 360.
Télécharger des jeux depuis Xbox LIVE
Vous pouvez parcourir le Marché Jeux Xbox LIVE sur votre ordinateur et ajouter des jeux à la file d'attente de téléchargement de votre console. La prochaine fois que la console se connectera au Xbox LIVE, les éléments contenus dans la file d'attente de téléchargement commenceront à se télécharger. Pour savoir comment procéder, consultez Acheter du contenu à partir de Xbox LIVE.
Télécharger des jeux à partir de la console
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Appuyez sur la touche X de la manette.
Sélectionnez Installer sur le disque dur.

Un indicateur de progression s'affiche pendant l'installation du jeu sur le disque dur. L'installation d'un jeu sur votre disque dur peut prendre jusqu'à 12 minutes.
Remarques
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Après l'installation d'un jeu sur le disque dur, le disque de jeu doit tout de même être présent dans le lecteur de disque au démarrage du jeu.
L'installation d'un jeu sur le disque dur améliore sa durée de chargement et limite le besoin d'accéder au disque de jeu.
Les jeux Xbox d'origine ne peuvent pas être installés sur un disque dur Xbox 360.
Jouer à un jeu installé sur votre disque dur
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Supprimer des jeux de votre disque dur
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PS4 future prise


PRIX PS4
Soyons clair, Sony n’a pas encore annoncé le prix de la PS4. En attendant, nous verrons ici quelles sont les estimations des experts et les divers indices qui nous permettent d’envisager tel prix plutôt qu’un autre. Cette page sera mise à jour à mesure que de nouvelles informations nous parviendront.
Tout d’abord, il y a cette estimation de Michael Pachter. Dans une récente réponse aux questions d’internautes, le célèbre analyste estime que Sony proposera la Playstation 4 au prix de 399 $. Pour l’Europe, on est habitués, pas de conversion, ce sera le même prix en euros.
On est donc loin des 500 € et 600 € que coûtaient les deux modèles PS3 à sa sortie européenne début 2007. En effet, beaucoup d’analystes s’accordent à dire que le prix de lancement de la PS3 était une erreur et qu’il suffit à expliquer le démarrage plus que poussif de la console. Si la PS3 est aujourd’hui revenue dans la course face à la Xbox 360, c’est grâce aux baisses de prix successives qui ont permis de séduire un public plus large et peut-être moins fortuné.
Il serait alors assez étonnant que Sony fasse la même erreur deux fois et on peut donc supposer que le prix de la PS4 sera plus raisonnable. Ainsi, 400 € semble être un seuil psychologique au-delà duquel nombre de gamers se détourneraient de la Playstation 4 pour aller voir ce qui se fait du côté de Microsoft.
Pour séduire un large panel de clients, Sony pourrait proposer la PS4 à 400 € mais également une version plus cheap à 300 € et pourquoi pas une version de luxe à 500 € avec un niveau de service plus élevé. Si de nombreuses combinaisons de prix et de services sont possibles, il apparait tout de même assez peu probable que Sony propose la Playstation 4 au prix de 600 €.

الأحد، 14 أبريل 2013

Thief (2014) Out of the Shadows Offical Trailer Reveal PS4 Game - 1080p ...


Theif wallpapers






Thief présentation


En développement depuis déjà un bon moment, nous n'avions plus de nouvelles du prochain opus de la saga Thief, saga à l'origine, rappelons-le, du jeu d'infiltration à la première personne sur PC en 1998. Un coup de fil et quelques courriels du service de presse de Square Enix et nous sommes partis à Montréal pour assister à une présentation du jeu en bonne et due forme.
Il est des jeux qui marquent les joueurs de par l'originalité de l’expérience qu'ils leur font vivre. Thief : The Dark Project est définitivement de ceux-là. Avec lui, les plus vieux d'entre vous ont appris à rester dans l'ombre pour mener à bien des missions d'assassinat dans une époque moyenâgeusement steampunk emplie d'imposantes bâtisses, de gardes suspicieux et de butins précieux à dérober scandaleusement. Comme toutes les légendes, Thief cristallise bon nombre de souvenirs qui subjuguent encore aujourd'hui les joueurs ayant succombé à ses charmes vers la fin des années 90. A l'instar d'un Deus Ex, le studio de Eidos Montréal s'est donné pour défi de ramener à la vie cette licence chère au cœur des gamers. Et une fois encore (après Tomb Raider et le sus-cité Deus Ex), l'éditeur Square Enix a opté pour une refonte au goût du jour du titre afin de correspondre aux aspirations actuelles des joueurs. Difficile de leur donner tort tant il est évident de constater que le public comme notre façon de jouer a grandement évolué en une petite décennie.
En préambule, et avant d'assister à une session degameplay d'une demi-heure, l'équipe nous a présenté le concept du jeu et mis au parfum du processus de conception des fondements du titre. Cette vision d'ensemble est souvent bien utile pour approcher la boucle primaire des actions qu'entreprendra le joueur au cours de son aventure. Pour Thief, elle comporte trois phases distinctes. La première n'est autre que l'infiltration, rien de surprenant jusque-là. La deuxième met en évidence toutes les actions relatives au vol sous toutes ses formes. Une fois encore, rien de plus naturel pour un maître voleur que de s'adonner à son gagne-pain. En revanche le troisième pilier est un peu plus original pour la série, il s'agit de la fuite. Et l'on parle ici de s'échapper façon parkour, comme le prince de Perse ou les meurtriers de la saga à succès d'Ubisoft Assassin's Creed. D'ailleurs, l'équipe en charge du projet s'est longtemps sérieusement posé la question de faire un jeu entièrement en vue à la troisième personne. Même si cela tient de l'hérésie pour quelques joueurs, des traces de cette option subsistent même dans la version qui nous a été présentée. En effet, lors de certaines phases de déplacements, le personnage de Garrett est vu de dos pour profiter au mieux de l'action.
Place à l'action justement. La démo voyait Garrett suivre un noble jusque dans un club privé à tendance maison de joie pour lui dérober son précieux collier en or. Après une phase de déplacement sur les toits qui n'était pas sans rappeler le Mirror's Edge d'Electronic Arts, notre maître voleur arrivait à ladite bâtisse avec style en utilisant son grappin pour passer ni vu ni connu dans le dos d'un garde en faction. Malin comme un singe, le personnage de Thief a plus d'un tour dans son sac pour s'infiltrer dans les lieux sous étroite surveillance. Dans la pièce suivante, après avoir assommé un autre quidam à l'aide de son arme fétiche, la matraque « Blackjack », c'est à l'aide d'une flèche bien placée qu'il détourna l'attention du dernier garde qui lui barrait la route. La pénombre étant le meilleur allié de notre héros, ou antihéros, c'est selon, c'est à pas de loup en éteignant les bougies qu'il se faufile d'ombre en ombre (à l'aide d'un mouvement de dash fort pratique) dans les pièces enfumées de ce temple de la luxure. Au passage, Garrett ramasse ci et là quelques babioles en matériaux précieux. On ne se refait pas et puis le jeu disposant d'un système économique offrant au joueur l'occasion d'améliorer son équipement entre deux missions (flèches de différents types, Blackjack...), on aurait tort de se priver.
Une fois sa cible principale retrouvée, il était temps de découvrir un élément central du jeu à savoir la force de concentration du personnage. En tout temps, et pour peu que sa jauge de concentration le lui permette, Garrett peut activer son « focus », lui octroyant un avantage considérable dans n’importe quelle situation. Il peut par exemple l'activer alors qu'il observe son environnement. Il découvrira en surbrillance des indices comme des empreintes digitales, particulièrement utiles pour déceler l'entrée d'un passage secret. En combat au corps-à-corps, tout comme au tir à l'arc ou lors des tentatives de pickpocket, le temps ralentit pour permettre au voleur de viser avec précision les éléments spécifiques qu'il veut atteindre. Dans le contexte, les développeurs expliquent volontiers qu'il s'agit de capacités que Garrett a acquises à travers sa grande expérience, à l'instar du personnage de Sherlock Holmes dans les derniers longs métrages incarnés par Robert Downey Jr.
Enfin, le crochetage des serrures semble aussi être grandement facilité par l'emploi de la concentration, ce qui devrait aider notre Arsène Lupin à rester le plus invisible possible aux yeux de ses contemporains. Dès son activation du pouvoir, l'écran de jeu montrera l'intérieur du barillet, rendant l’exercice d'autant plus aisée. Lors de l'entretien que le producteur du jeu nous a accordé, ce dernier a insisté sur le fait que l'emploi du focus était optionnel. Les joueurs voulant vivre une expérience plus proche du jeu original ayant le choix d'utiliser ce pouvoir avec parcimonie, voire pas du tout. Côté scénario, même si l'on en sait peu pour le moment, sachez que notre personnage devrait se retrouver au beau milieu d'un conflit aux enjeux d'importance. Le théâtre du jeu prend la forme d'une ville d'envergure, partagée entre la tradition Victorienne et la modernité industrielle, et découpée en quartiers que le joueur aura l'occasion de visiter à loisir pour découvrir les tensions entre les classes sociales et les différentes factions. Ce cocktail à la mode n'étant pas sans rappeler Dishonored, on imagine sans mal l'immersion profonde que ce titre pourrait proposer aux joueurs avides d'univers envoûtants.

السبت، 13 أبريل 2013

Grid2 presentation and wallpapers


Déjà aperçu en début d'année, GRID 2 s'est de nouveau laissé approcher le temps d'une courte session multijoueur. L'occasion pour nous de foncer – virtuellement – dans les rues de Paris, mais aussi de confirmer tout le potentiel du jeu de course de Codemasters.

Le premier GRID piochait dans diverses influences, pour un résultat un brin consensuel : en voulant plaire à tous les publics, le jeu en oubliait d'avoir sa propre personnalité. GRID 2 parviendra-t-il à éviter cet écueil ? Il est trop tôt pour le dire ; nous préférons attendre la version finale, qui sortira fin mai, pour nous prononcer. Mais l'abandon de « Race Driver » dans le titre en dit long sur la volonté de Codemasters de s'affranchir une bonne fois pour toutes de l'héritage TOCA, et d'imposer GRID comme une marque à part entière. Pour autant, le jeu tente toujours de rassembler un large public en adoptant un modèle de conduite ni tout à fait arcade, ni vraiment simulation, comme nous avons pu le constater manette en mains.
C'est donc le mode multijoueur qui s'est laissé découvrir.
Cette petite session nous a permis d'essayer trois courses : une dans les rues de Dubaï, une autre dans les rues de Paris, et le circuit portugais d'Algarve. Le tout avec des véhicules variés : McLaren F1 GT, SRT Viper et Audi R8 LMS Ultra furent les choix de votre serviteur. Au total, GRID 2 devrait proposer plus de 50 voitures. Il y en aura pour tous les goûts : des américaines (Ford Mustang, Chevrolet Camaro SS...), des européennes (Alfa Romeo 8C, Jaguar XKR-S...) et des japonaises (Nissan GT-R, Mazda RX-7...). Les adeptes de la customisation seront ravis d'apprendre que les possibilités ont été renforcées, avec encore plus de jantes, de stickers, de peintures et autres fioritures destinées à faire le kéké. Mais la personnalisation des bolides n'est pas que visuelle ; un assortiment de pièces détachées permettra aussi de gonfler sa caisse. Selon les développeurs, une voiture bien trafiquée pourra rivaliser avec des véhicules de la catégorie supérieure. A condition de bien piloter, évidemment...
Alors, ces deux joueurs ont-ils le même profil de pilotage ?
Justement, qu'en est-il du pilotage ? Difficile d'émettre un jugement après seulement trois courses, mais le comportement des voitures nous a paru assez réaliste. Leur poids, notamment, se faisait bien sentir, tandis que leur puissance obligeait à accélérer à nouveau avec douceur en sortie de virage pour ne pas partir en tête-à-queue. Notez que je généralise, mais chaque véhicule devrait disposer de son propre modèle physique. Et que les débutants se rassurent : un panel d'assistances (désactivable) permettra une prise en main en douceur. Quant à l'intelligence artificielle, très agressive dans le premier GRID, nous n'en parlerons pas ici ; multi oblige, c'était nos chers confrères qui se chargeaient de nous envoyer dans le décor... Vous n'avez pas envie qu'une course se transforme en partie de stock-cars ? Ça tombe bien, GRID 2 propose justement un système pour éviter cela. Le jeu détecte les responsables des collisions ; chaque joueur se voit attribuer une couleur qui reflète son comportement, depuis le blanc (trajectoires propres) jusqu'au rouge (gros bourrin). En lançant un serveur, vous pourrez décider de n'accepter que les joueurs d'une plage de couleur donnée, et ainsi jouer entre gentilshommes. En voilà une bonne idée ! GRID 2 intègre aussi un système qui détecte les vils coupeurs de virages, et les pénalise en cas d'avantage.
Chiche, on passe sous la tour Eiffel !
Pour le reste, le mode multijoueur de GRID 2 met l'accent sur l'aspect social, très à la mode en ce moment. Le jeu repose sur la plate-forme RaceNet, déjà aperçue dans F1 2012, mais qui ira encore plus loin avec la sortie d'applications pour smartphones et tablettes. RaceNet permettra de visualiser les statistiques des joueurs, ou encore de s'informer des compétitions à venir. Codemasters prévoit d'organiser pas moins de neuf événements par semaine. Les victoires feront gagner de l'expérience et de l'argent, histoire de débloquer et d'acheter de nouvelles voitures – la carrière multi est totalement indépendante de la progression en solo. Elles feront aussi gagner des « followers », une jauge qui représente votre gloire en tant que pilote. Un système de rivaux vous choisira chaque semaine un Némesis à votre mesure, et vous serez libre de choisir d'autres rivaux selon divers critères. GRID 2 proposera en outre une intégration avec Youtube pour mettre en ligne facilement vos plus beaux exploits. Il sera également possible de les partager via Facebook et Twitter. Quand on vous disait que le multijoueur était éminemment social !
Nous avons gardé le meilleur pour la fin, afin de récompenser les quelques lecteurs qui lisent les articles jusqu'au bout... D'abord, le multi sera jouable à 12 avec 12 voitures différentes, ce qui n'était pas le cas dans le premier GRID. Ensuite, sachez que le jeu proposera aussi du multi en local à deux en écran partagé ! C'est devenu suffisamment rare pour être souligné.


Déjà aperçu en début d'année, GRID 2 s'est de nouveau laissé approcher le temps d'une courte session multijoueur. L'occasion pour nous de foncer – virtuellement – dans les rues de Paris, mais aussi de confirmer tout le potentiel du jeu de course de Codemasters.
GRID 2
Le premier GRID piochait dans diverses influences, pour un résultat un brin consensuel : en voulant plaire à tous les publics, le jeu en oubliait d'avoir sa propre personnalité. GRID 2 parviendra-t-il à éviter cet écueil ? Il est trop tôt pour le dire ; nous préférons attendre la version finale, qui sortira fin mai, pour nous prononcer. Mais l'abandon de « Race Driver » dans le titre en dit long sur la volonté de Codemasters de s'affranchir une bonne fois pour toutes de l'héritage TOCA, et d'imposer GRID comme une marque à part entière. Pour autant, le jeu tente toujours de rassembler un large public en adoptant un modèle de conduite ni tout à fait arcade, ni vraiment simulation, comme nous avons pu le constater manette en mains.
Aperçu GRID 2 Xbox 360 - Screenshot 24C'est donc le mode multijoueur qui s'est laissé découvrir.
Cette petite session nous a permis d'essayer trois courses : une dans les rues de Dubaï, une autre dans les rues de Paris, et le circuit portugais d'Algarve. Le tout avec des véhicules variés : McLaren F1 GT, SRT Viper et Audi R8 LMS Ultra furent les choix de votre serviteur. Au total, GRID 2 devrait proposer plus de 50 voitures. Il y en aura pour tous les goûts : des américaines (Ford Mustang, Chevrolet Camaro SS...), des européennes (Alfa Romeo 8C, Jaguar XKR-S...) et des japonaises (Nissan GT-R, Mazda RX-7...). Les adeptes de la customisation seront ravis d'apprendre que les possibilités ont été renforcées, avec encore plus de jantes, de stickers, de peintures et autres fioritures destinées à faire le kéké. Mais la personnalisation des bolides n'est pas que visuelle ; un assortiment de pièces détachées permettra aussi de gonfler sa caisse. Selon les développeurs, une voiture bien trafiquée pourra rivaliser avec des véhicules de la catégorie supérieure. A condition de bien piloter, évidemment...
Aperçu GRID 2 Xbox 360 - Screenshot 25Alors, ces deux joueurs ont-ils le même profil de pilotage ?
Justement, qu'en est-il du pilotage ? Difficile d'émettre un jugement après seulement trois courses, mais le comportement des voitures nous a paru assez réaliste. Leur poids, notamment, se faisait bien sentir, tandis que leur puissance obligeait à accélérer à nouveau avec douceur en sortie de virage pour ne pas partir en tête-à-queue. Notez que je généralise, mais chaque véhicule devrait disposer de son propre modèle physique. Et que les débutants se rassurent : un panel d'assistances (désactivable) permettra une prise en main en douceur. Quant à l'intelligence artificielle, très agressive dans le premier GRID, nous n'en parlerons pas ici ; multi oblige, c'était nos chers confrères qui se chargeaient de nous envoyer dans le décor... Vous n'avez pas envie qu'une course se transforme en partie de stock-cars ? Ça tombe bien, GRID 2 propose justement un système pour éviter cela. Le jeu détecte les responsables des collisions ; chaque joueur se voit attribuer une couleur qui reflète son comportement, depuis le blanc (trajectoires propres) jusqu'au rouge (gros bourrin). En lançant un serveur, vous pourrez décider de n'accepter que les joueurs d'une plage de couleur donnée, et ainsi jouer entre gentilshommes. En voilà une bonne idée ! GRID 2 intègre aussi un système qui détecte les vils coupeurs de virages, et les pénalise en cas d'avantage.
Chiche, on passe sous la tour Eiffel !
Pour le reste, le mode multijoueur de GRID 2 met l'accent sur l'aspect social, très à la mode en ce moment. Le jeu repose sur la plate-forme RaceNet, déjà aperçue dans F1 2012, mais qui ira encore plus loin avec la sortie d'applications pour smartphones et tablettes. RaceNet permettra de visualiser les statistiques des joueurs, ou encore de s'informer des compétitions à venir. Codemasters prévoit d'organiser pas moins de neuf événements par semaine. Les victoires feront gagner de l'expérience et de l'argent, histoire de débloquer et d'acheter de nouvelles voitures – la carrière multi est totalement indépendante de la progression en solo. Elles feront aussi gagner des « followers », une jauge qui représente votre gloire en tant que pilote. Un système de rivaux vous choisira chaque semaine un Némesis à votre mesure, et vous serez libre de choisir d'autres rivaux selon divers critères. GRID 2 proposera en outre une intégration avec Youtube pour mettre en ligne facilement vos plus beaux exploits. Il sera également possible de les partager via Facebook et Twitter. Quand on vous disait que le multijoueur était éminemment social !
Nous avons gardé le meilleur pour la fin, afin de récompenser les quelques lecteurs qui lisent les articles jusqu'au bout... D'abord, le multi sera jouable à 12 avec 12 voitures différentes, ce qui n'était pas le cas dans le premier GRID. Ensuite, sachez que le jeu proposera aussi du multi en local à deux en écran partagé ! C'est devenu suffisamment rare pour être souligné.